mardi 22 mars 2011
22 mars 2011
samedi 19 mars 2011
Le Jour J
Le Jour J arriva enfin ! Nous allions chercher ma Doudou ! J'arrive à ma nouvelle écurie tôt le matin avec mon père. On rejoint le propriétaire de l'écurie et nous partons avec le van en direction de Wapi. Nous faisons une heure et des poussières de route et arrivons à l'écurie. Wapi nous attendait dans son box. Son ancienne propriétaire l'a sortit du box, dans l'allée, je lui ai mis sa couverture et ses protections pour le transport. Son ancienne propriétaire lui a dit au revoir et son fils, qui était aussi présent, en a fait autant. J'ai mené la jument dehors et je l'ai entré dans le van. Elle est entré du premier coup. Nous sommes partie. À un arrêt «essence», nous avons pu entendre Wapi kicker et hennir dans le van, pauvre chouette !
À notre arrivée à l'écurie, j'ai pensé Wapi. Je lui ai mis son cooler (elle avait eu chaud). Nous sommes repartie pour manger à la maison. En après-midi, nous sommes retourné à l'écurie avec ma mère, mon frère et mon petit cousin ! Nous avons profiter pour faire quelques photos et j'ai été monté un petit 10 minutes (au pas, surtout).
jeudi 10 mars 2011
Les préparratifs
Une semaine durant, j'avais de la difficulté à dormir. J'hésitais. J'avais des «flash» où un «OUI» fulgurant me venait en tête, mais je continuais à hésiter. Ma première impression m'avait dit que c'était une mauvaise idée, que je n'étais pas prête pour un cheval comme elle... J'ai écouter mes flash et j'ai choisi de l'acheter. Je me suis laissé un petit moment pour y penser avant de donner ma réponse. Ce n'est pas rien l'achat d'un cheval... Puis, j'ai eu un courriel de la propriétaire me disant qu'une autre personne voulait venir voir la jument et qu'elle attendait ma réponse avant de prendre rendez-vous avec l'autre. Je suis devenu systématiquement un peu possessive, non, non, non, cette jument était la mienne ! J'ai envoyer un courriel disant que je la voulais. Nous étions au début du mois de mars. La propriétaire voulait faire venir le forgeron avant de la vendre. Moi, je devais m'assurer de trouver une pension.
Avant l'achat de ma jument, j'avais appelé à une écurie près de chez moi pour me renseigner. Je suis allé la visiter. Je l'ai beaucoup aimé, c'était une écurie de pensionnaires, une écurie de loisir. Les pensionnaires étaient gentils, simples, aucunement snobs ou hautains. Le prix était même bas comparé aux pensions de luxe qu'on retrouve beaucoup dans ma région ! Environ une semaine après ma visite, j'allais y porter mes choses et chercher ma nouvelle jument !
mardi 1 mars 2011
Introduction
Je devais aller en Russie avec une amie, j'économisais depuis quelques mois déjà pour cela. Or, certaines circonstances ont annulés ce voyage et je me suis retrouvé avec mes économie. J'aurais pu être sage et faire des placements pour l'avenir. Je ne l'ai pas été, j'ai plutôt choisi de réaliser un rêve et de m'acheter mon propre cheval !
J'épluchais les petites annonces et aucun cheval ne me correspondait. J'avais des critères, mais j'étais tout de même souple vu mon budget. Je regardais les annonces et économisait en même temps. Puis j'ai vu une petite jument qui ne correspondait pas tout à fait à mes critères, mais qui s'en rapprochait. Je recherchais un cheval sain, sans tic, de 16 mains et plus, entre 7 et 10 ans, avec des aptitudes pour l'obstacle. La jument avait le tic à l'appui (rot), mesurait 15,3 mains, avait 8 ans et avait été un peu entraîné en complet et en dressage. Le prix était un peu élevé, mais rien de trop catastrophique, j'avais le temps d'économiser encore ! J'ai écrit un courriel à sa propriétaire pour en savoir plus. Elle m'a appris qu'elle avait diminué le prix. J'avais les moyens ! Grosso modo, la jument me convenait. Pas parfaitement, mais pour le prix c'était très très bien !
J'ai voulu aller la voir. En cachette. Mes parents ne savaient pas que je me cherchais un cheval. Je venais à peine d'avoir mon permis et je devais faire 1h de route. Une mauvaise idée ! Je me suis perdue, j'ai été dangereuse par manque d'expérience. Une catastrophe ! Je n'ai pas trouvé l'écurie, je n'ai pas réussi à rejoindre la propriétaire. Je suis retourné chez moi, bredouille et apeurée !
J'en ai alors parlé à mes parents. Mon père m'a emmené (beaucoup plus sécuritaire) voir la jument la fin de semaine suivante. Ma mère était totalement contre. Mon père assez neutre : il n'approuvait pas ma décision, mais la respectait.
J'ai regardé sa propriétaire la monter. C'était beau à voir, j'étais toute tremblante tellement j'étais emballée ! Moi... Avoir mon propre cheval... Enfin !
Je suis ensuite monté sur la jument. Elle accélérait beaucoup, je n'avais pas l'impression d'avoir le contrôle, je manquais de technique pour la monter. Sa propriétaire me guidait, du milieu du manège intérieur. Ça s'est replacé. J'ai finis par m'habitué un peu et à comprendre comment la monter. Ça faisait changement des chevaux-école «patates» qu'il fallait constamment pousser ! Durant l'essai, je n'arrêtais pas de me répéter que c'était une erreur. Ja-mais je n'achèterais une jument comme cela, je n'avais pas du tout le niveau. Pas du tout. Les premières minutes, je me suis même demandé si cela se faisait de descendre et d'arrêter l'essai là. J'ai tout de même continué et à la fin, ça allait pas si mal !
Je suis descendu de selle, la jument s'est frotté sur moi. Je sais que je ne dois pas accepter cela, mais il n'empêche que ça m'a charmé. Nous sommes allé dans l'écurie. La propriétaire a déseller et a pansé la jument. Elle nous parlait d'elle en même temps. Elle lui a donné une moitié de pomme. La jument l'a craché au sol. Complètement. Comme si cela la répugnait ! Un cheval n'aimant pas les pommes ! Cela aussi m'a charmé, ça la rendait un peu plus unique !
Nous sommes partie ensuite. J'hésitais. Je n'étais plus aussi catégorique. La jument était un peu difficile pour moi, moi qui avait presque totalement décroché de l'équitation peu avant et qui était craintive à cheval. D'un autre côté, c'était un défi. Un défi que j'étais capable de relever, ce n'était pas impossible, ce n'était pas de la pure folie. Je ne savais pas trop quoi penser...
J'épluchais les petites annonces et aucun cheval ne me correspondait. J'avais des critères, mais j'étais tout de même souple vu mon budget. Je regardais les annonces et économisait en même temps. Puis j'ai vu une petite jument qui ne correspondait pas tout à fait à mes critères, mais qui s'en rapprochait. Je recherchais un cheval sain, sans tic, de 16 mains et plus, entre 7 et 10 ans, avec des aptitudes pour l'obstacle. La jument avait le tic à l'appui (rot), mesurait 15,3 mains, avait 8 ans et avait été un peu entraîné en complet et en dressage. Le prix était un peu élevé, mais rien de trop catastrophique, j'avais le temps d'économiser encore ! J'ai écrit un courriel à sa propriétaire pour en savoir plus. Elle m'a appris qu'elle avait diminué le prix. J'avais les moyens ! Grosso modo, la jument me convenait. Pas parfaitement, mais pour le prix c'était très très bien !
J'ai voulu aller la voir. En cachette. Mes parents ne savaient pas que je me cherchais un cheval. Je venais à peine d'avoir mon permis et je devais faire 1h de route. Une mauvaise idée ! Je me suis perdue, j'ai été dangereuse par manque d'expérience. Une catastrophe ! Je n'ai pas trouvé l'écurie, je n'ai pas réussi à rejoindre la propriétaire. Je suis retourné chez moi, bredouille et apeurée !
J'en ai alors parlé à mes parents. Mon père m'a emmené (beaucoup plus sécuritaire) voir la jument la fin de semaine suivante. Ma mère était totalement contre. Mon père assez neutre : il n'approuvait pas ma décision, mais la respectait.
J'ai regardé sa propriétaire la monter. C'était beau à voir, j'étais toute tremblante tellement j'étais emballée ! Moi... Avoir mon propre cheval... Enfin !
Je suis ensuite monté sur la jument. Elle accélérait beaucoup, je n'avais pas l'impression d'avoir le contrôle, je manquais de technique pour la monter. Sa propriétaire me guidait, du milieu du manège intérieur. Ça s'est replacé. J'ai finis par m'habitué un peu et à comprendre comment la monter. Ça faisait changement des chevaux-école «patates» qu'il fallait constamment pousser ! Durant l'essai, je n'arrêtais pas de me répéter que c'était une erreur. Ja-mais je n'achèterais une jument comme cela, je n'avais pas du tout le niveau. Pas du tout. Les premières minutes, je me suis même demandé si cela se faisait de descendre et d'arrêter l'essai là. J'ai tout de même continué et à la fin, ça allait pas si mal !
Je suis descendu de selle, la jument s'est frotté sur moi. Je sais que je ne dois pas accepter cela, mais il n'empêche que ça m'a charmé. Nous sommes allé dans l'écurie. La propriétaire a déseller et a pansé la jument. Elle nous parlait d'elle en même temps. Elle lui a donné une moitié de pomme. La jument l'a craché au sol. Complètement. Comme si cela la répugnait ! Un cheval n'aimant pas les pommes ! Cela aussi m'a charmé, ça la rendait un peu plus unique !
Nous sommes partie ensuite. J'hésitais. Je n'étais plus aussi catégorique. La jument était un peu difficile pour moi, moi qui avait presque totalement décroché de l'équitation peu avant et qui était craintive à cheval. D'un autre côté, c'était un défi. Un défi que j'étais capable de relever, ce n'était pas impossible, ce n'était pas de la pure folie. Je ne savais pas trop quoi penser...
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