jeudi 10 mars 2011

Les préparratifs

Une semaine durant, j'avais de la difficulté à dormir. J'hésitais. J'avais des «flash» où un «OUI» fulgurant me venait en tête, mais je continuais à hésiter. Ma première impression m'avait dit que c'était une mauvaise idée, que je n'étais pas prête pour un cheval comme elle... J'ai écouter mes flash et j'ai choisi de l'acheter. Je me suis laissé un petit moment pour y penser avant de donner ma réponse. Ce n'est pas rien l'achat d'un cheval... Puis, j'ai eu un courriel de la propriétaire me disant qu'une autre personne voulait venir voir la jument et qu'elle attendait ma réponse avant de prendre rendez-vous avec l'autre. Je suis devenu systématiquement un peu possessive, non, non, non, cette jument était la mienne ! J'ai envoyer un courriel disant que je la voulais. Nous étions au début du mois de mars. La propriétaire voulait faire venir le forgeron avant de la vendre. Moi, je devais m'assurer de trouver une pension.

Avant l'achat de ma jument, j'avais appelé à une écurie près de chez moi pour me renseigner. Je suis allé la visiter. Je l'ai beaucoup aimé, c'était une écurie de pensionnaires, une écurie de loisir. Les pensionnaires étaient gentils, simples, aucunement snobs ou hautains. Le prix était même bas comparé aux pensions de luxe qu'on retrouve beaucoup dans ma région ! Environ une semaine après ma visite, j'allais y porter mes choses et chercher ma nouvelle jument !





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